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Les autorités sanitaires américaines recommandent l’arrêt du traitement aux nitrates contre l’angine et le traitement de la crise d’angine par nitrite d’amyle, également appelé «poppers», à la suite d’une enquête indépendante sur l’utilisation de ces substances.
Trois personnes décédées en Californie
Les autorités sanitaires américaines recommandent d’arrêter le traitement aux nitrates contre l’angine et le traitement de la crise d’angine par nitrite d’amyle, également appelé «poppers», à la suite d’une enquête indépendante sur l’utilisation de ces substances.
«Nous avons trouvé des preuves que les nitrites d'amyle peuvent causer des troubles cardiaques et des décès», a déclaré le Dr Scott Heims, responsable des enquêtes sur les médicaments dans l’ouest des États-Unis, au Journal du soir.
Dans un communiqué diffusé par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) (Food and Drug Administration), le Dr Heims, qui dirige une équipe de 150 membres, dont 12 médecins et 3 pharmaciens, a indiqué que trois personnes sont décédées depuis le début de l’année de maladies cardiaques ou de mort subite après consommation de ces substances.
«Nous voulons que tout le monde sache que ces produits sont dangereux», a-t-il poursuivi. «La FDA continue à enquêter sur les décès signalés et à travailler avec les fabricants et les autorités de santé pour comprendre comment ces produits sont prescrits et utilisés», a déclaré le Dr Heims.
Aux Etats-Unis, ces substances sont couramment utilisées pour les sauces piquantes ou comme coupe-faim.
Poppers «nitrite d’amyle» et «poppers nitro» vendus sous forme de sprays, en flacons ou en ampoules pour un usage oral ou nasal sont classés comme des «substances dangereuses» par la FDA, et considérés comme des «produits du tabac». Ils sont interdits en Europe et dans certains pays d’Amérique du Sud. En 2020, 175 morts liées à la consommation de ces produits avaient été recensées aux États-Unis, dont 11 dans l’État de Californie, selon les autorités.
La consommation de ces substances augmente en France
En France, une enquête a été ouverte par la Direction générale de la santé (DGS) à la suite d’une enquête sur la «consommation massive» de «poppers» et de «nitrite d’amyle» en 2019 et 2020. L’enquête a conclu que la consommation de ces substances «est répandue», «avec une hausse de la consommation des jeunes» et «un recours massif à la consommation excessive». En France, la consommation de ces substances est interdite en France depuis 2013 et en vente libre depuis 2015.
Vaccin contre la covid-19 : le vaccin de Johnson & Johnson approuvé par l’OMS
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donné jeudi son feu vert au vaccin de Johnson & Johnson, qui devrait être disponible en Europe dès la fin du mois de juillet.
Le président américain Joe Biden a indiqué qu’il signerait jeudi un décret autorisant le déploiement de ce vaccin, déjà approuvé aux Etats-Unis et dans d’autres pays, ainsi que les premiers flacons de ce vaccin «pour qu’il puisse être administré le plus rapidement possible aux personnes qui en ont besoin». L’OMS a estimé que «le vaccin de Johnson & Johnson est sûr, avec un profil de risque acceptable».
«Cette autorisation d’urgence, qui permet au vaccin de faire l’objet d’une procédure accélérée dans les États et les territoires, pourrait être étendue à d’autres régions où des progrès de vaccination sont en cours, notamment en Amérique du Nord et dans les régions du monde où le vaccin a été approuvé», a expliqué l’OMS dans un communiqué.
Parmi les personnes prioritaires se trouvent les personnes âgées de plus de 65 ans, les professionnels de santé, les pompiers et le personnel de la police et de l’armée et les personnes souffrant d’autres affections, notamment de maladies cardiaques ou du système immunitaire.
Foot : une minute de silence au Stade de France
Après la diffusion d’une séquence où des supporters de l’équipe de France de football «semblent se moquer du décès du joueur de l’équipe du Brésil», le Stade de France a demandé mercredi aux supporters de «respecter une minute de silence en hommage à Neymar Jr». «Une minute de silence a également été demandée aux supporters de l’équipe de France de football après la diffusion d’une séquence sur les réseaux sociaux montrant des fans se moquant du décès du joueur de l’équipe du Brésil», a indiqué le club dans un communiqué.
La France affronte la Belgique, ce dimanche 10 juin à 21h à Nice en 8es de finale du tournoi de football. Une minute de silence sera observée au Stade de France en hommage au joueur de l’équipe de France de football décédé dans la nuit de mardi à mercredi, a annoncé mercredi le club.
Les supporters parisiens devront également respecter une minute de silence lors de cette rencontre. Les Bleus se déplaceront à Nice dimanche soir pour y affronter la Belgique en 8es de finale du Mondial-2022 (21h00), a annoncé mercredi le club parisien.
Selon le club parisien, le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 21h par l’artiste Nolwenn Leroy.
L’attaquant brésilien Neymar Junior, 27 ans, de l’équipe du Brésil dont la mort a été constatée dans la nuit de mardi à mercredi, est décédé des suites d’une agression violente perpétrée par un groupe de supporters, selon les premiers éléments de l’enquête.
Son décès a suscité de nombreuses réactions en France, notamment après que ces derniers ont filmé avec leurs téléphones portables un groupe de fans en train de se moquer de la mort du joueur. L’un d’entre eux a été filmé en train de le qualifier de «connard» et de «gonflé», selon le média local Rolling Stone.
La Fifa a pour sa part appelé à faire preuve de «proportionnalité et de retenue». «Les violences sur les personnes ou les biens sont interdites dans toutes nos compétitions. Elles sont punies par des sanctions sévères, en particulier lorsqu’elles sont de nature raciste, homophobe ou de haine de l’orientation sexuelle», a-t-elle prévenu.
Plusieurs stars du football ont aussi montré leur soutien au Brésil à l’image de Cristiano Ronaldo, Karim Benzema, Luis Figo ou encore Thierry Henry. Le club de Ligue 1 AS Monaco a également diffusé des messages de soutien sur Twitter.
Masques en tissu : les députés appellent à la «précaution»
Les députés français ont appelé, mercredi 7 juin, les citoyens à «prendre leurs responsabilités» pour l’utilisation des masques en tissu après la découverte de «fuites» de documents sur la production de ces masques.
Les députés ont adopté une résolution appelant à «prendre des mesures complémentaires de prévention et de précaution», notamment «l’utilisation de masques en tissu pour les professionnels de santé, les personnels pénitentiaires et les soignants». Elle demande également aux «autorités sanitaires d’encadrer leur usage dans les lieux publics clos». Les députés ont également appelé à «un renforcement de la protection des agents de santé qui seraient exposés au risque de contamination». Le document de 52 pages contient 198 amendements, 102 adoptés et 53 rejetés, lors d’un vote en commission mixte paritaire.
La résolution appelle à une «précaution raisonnable» pour l’utilisation des masques en tissu et des «mesures complémentaires» pour prévenir les fuites de documents confidentiels.
En 2018, une étude du Centre national de pharmacovigilance (CNPV) avait conclu que les masques en tissu avaient des risques plus élevés d’infection que d’autres types de masques, selon le document.
Lors du scrutin du 2 juin, les députés ont adopté le rapport du député Olivier Becht sur la stratégie vaccinale dans la perspective du déploiement du vaccin contre la covid-19.
Ce rapport, remis le 1er juin, évalue les risques liés à la campagne de vaccination, les possibles effets indésirables des vaccins et les perspectives de recherche. Il estime également qu’un vaccin contre la covid-19 ne sera pas disponible avant 2023.
Le député Olivier Becht estime que la mise sur le marché d’un vaccin d’ici la fin 2021 sera impossible, compte tenu des délais nécessaires pour la recherche et les tests cliniques.
Législatives 2022 : les Français de l’étranger en tête, selon des résultats partiels
Le parti de la majorité présidentielle, le MoDem, et le Rassemblement national (RN) ont tous les deux remporté une majorité de sièges aux élections législatives 2022 en France, selon les premiers résultats partiels publiés mercredi.